





Vestige
Le visage émerge lentement de la matière, comme un souvenir enfoui dans une brume dense. Les traits sont incertains, presque effacés, mais deux croix nettes prennent la place des yeux une signature silencieuse, récurrente, presque rituelle. La texture épaisse, granuleuse, donne au tableau une présence physique, presque vivante.
Rien n’est vraiment défini, tout vacille entre apparition et disparition. C’est moins un portrait qu’une trace, une empreinte mentale, une silhouette suspendue entre le réel et l’oubli.
Grand format, acrylique sur toile.
Le visage émerge lentement de la matière, comme un souvenir enfoui dans une brume dense. Les traits sont incertains, presque effacés, mais deux croix nettes prennent la place des yeux une signature silencieuse, récurrente, presque rituelle. La texture épaisse, granuleuse, donne au tableau une présence physique, presque vivante.
Rien n’est vraiment défini, tout vacille entre apparition et disparition. C’est moins un portrait qu’une trace, une empreinte mentale, une silhouette suspendue entre le réel et l’oubli.
Grand format, acrylique sur toile.
Le visage émerge lentement de la matière, comme un souvenir enfoui dans une brume dense. Les traits sont incertains, presque effacés, mais deux croix nettes prennent la place des yeux une signature silencieuse, récurrente, presque rituelle. La texture épaisse, granuleuse, donne au tableau une présence physique, presque vivante.
Rien n’est vraiment défini, tout vacille entre apparition et disparition. C’est moins un portrait qu’une trace, une empreinte mentale, une silhouette suspendue entre le réel et l’oubli.
Grand format, acrylique sur toile.