


L’origine du silence
"L’origine du silence"
Cette œuvre est née d’un geste instinctif, presque rituel : celui de laisser un corps s’imprimer sur la toile comme une mémoire vivante. Le torse d’une femme, ses courbes pleines, sa poitrine, son ventre tout ce qu’elle est, a touché la surface blanche avec une vérité simple, sans artifice.
Les teintes sourdes de gris, de rose, de pourpre, traversées d’un bleu discret, forment une sorte de respiration picturale, un murmure entre la peau et la matière.
C’est une empreinte, oui, mais aussi une présence. Pas une image du corps : sa trace, son souffle, sa manière d’exister sans se justifier.
Il ne s’agit pas de figurer, mais de ressentir d’accueillir ce que le corps a à dire lorsqu’on ne le contraint pas, lorsqu’on le laisse parler en dehors des mots. Cette œuvre est un hommage à cette parole muette, à cette beauté offerte sans demande.
"L’origine du silence"
Cette œuvre est née d’un geste instinctif, presque rituel : celui de laisser un corps s’imprimer sur la toile comme une mémoire vivante. Le torse d’une femme, ses courbes pleines, sa poitrine, son ventre tout ce qu’elle est, a touché la surface blanche avec une vérité simple, sans artifice.
Les teintes sourdes de gris, de rose, de pourpre, traversées d’un bleu discret, forment une sorte de respiration picturale, un murmure entre la peau et la matière.
C’est une empreinte, oui, mais aussi une présence. Pas une image du corps : sa trace, son souffle, sa manière d’exister sans se justifier.
Il ne s’agit pas de figurer, mais de ressentir d’accueillir ce que le corps a à dire lorsqu’on ne le contraint pas, lorsqu’on le laisse parler en dehors des mots. Cette œuvre est un hommage à cette parole muette, à cette beauté offerte sans demande.